[Préparez votre séance] 5 films de Jake Scott, réalisateur de “American Woman”
Cinq films de Jake Scott, le réalisateur du film “American Woman” qui passe ce vendredi à 11h00 au Théâtre. Jake Scott est un réalisateur britannique né en 1965. Voici les résumés de 5 films et courts-métrages qu’il a réalisé… avec une bonne raison pour chacun d’aller les voir.
• Guns 1748 (Plunkett & Macleane), pour le suspense
Guns 1748 (Plunkett & Macleane) est un film britannique réalisé par Jake Scott, sorti le 22 janvier 1999, avec Robert Carlyle, Jonny Lee Miller et Liv Tyler. C’est l’histoire d’un aristocrate endetté, Macleane. En 1748 , il fait la connaissance d’un bandit du nom de Will Plunkett. Envoyés ensemble en prison, ils forment un duo qui multiplie braquages et conquêtes féminines. Macleane tombe amoureux de Rebecca Gibson. Chance, inspecteur sadique, rêve de pendre les deux complices, il finit par connaître l’identité de Macleane et tue Lord Gibson, père de Rebecca, en faisant accuser Macleane du meurtre. Plunkett arrive au dernier moment et le sauve. Avec l’aide de Rochester, le duo, rejoint par Rebecca, s’échappe par les égouts et part pour l’Amérique, Plunkett tuant Chance d’un coup de pistolet.
• Tooth Fairy, pour son originalité
Tooth Fairy est un court métrage sorti en 2004 réalisé par Jake Scott. Papa ne passe pas une bonne matinée : au petit-déjeuner, sa femme indique que sa tentative de réparation de l’évier a échoué, sa fille aînée est fâchée d’avoir jeté un de ses dessins à l’école et sa plus jeune fille se réveille pour constater que la fée des dents ne s’est pas présenté la nuit dernière, comme promis. Papa fait des excuses pour la fée des dents. Tard dans la nuit, après avoir réparé l’évier, il se souvient de ses tâches dentaires. Sous l’oreiller de sa fille endormie, il s’aperçoit qu’elle a organisé un jeu pour la fée des dents avec plusieurs indices menant à l’emplacement de la dent. Il est épuisé, mais il cherche des indices au fil des nuits. C’est une course contre le soleil.
• Welcome to the Rileys, pour son côté émouvant
Welcome to the Rileys est un film américain réalisé et écrit par Jake Scott et joué par Kristen Stewart, James Gandolfini et Melissa Leo. Il est sorti en 2010. Doug Riley et sa femme Loïs se sont éloignés l’un de l’autre depuis la mort de leur fille et Loïs demeure incapable de sortir de chez elle. Lors d’un déplacement professionnel, Doug se rend dans un club de strip-tease où il fait la connaissance de Mallory (Kristen Stewart), une jeune fille prostituée qui lui rappelle sa propre fille. Il lui propose alors de l’argent pour s’installer chez elle en lui expliquant qu’il ne veut pas coucher avec elle. Mallory est méfiante, mais accepte. Doug tente bientôt de mettre de l’ordre dans la vie de la jeune fille. Quand sa femme Loïs le rejoint après avoir surmonté ses craintes de quitter sa maison, elle comprend ce qu’il essaye de faire. Le couple décide de prendre soin de Mallory et de former une famille. Mais la jeune fille ne va pas faciliter la tâche des Riley.
• The Hunt, pour sa surprise
The Hunt est un court métrage réalisé par Jake Scott, sorti en 2010. Deux chasseurs sont sur le point d’attraper le gibier de leurs rêves. Mais dans la forêt, une créature mystérieuse se tient là, tapie dans l’ombre, prête à attaquer, si bien que les chasseurs pourraient bien en fait être les proies…
• A Gentleman’s Wager, pour son intrigue
A Gentleman’s Wager est un court métrage du réalisateur britannique Jake Scott pour Johnnie Walker Blue Label, il est sorti en 2014. Dans ses débuts à la Mostra de Venise, l’histoire commence avec Jude Law déclarant qu’il gagnerait un bateau vintage « avec une danse ». Il se trouve confronté à ce dilemme après s’être convaincu de la nécessité de mettre la main sur le yacht de luxe unique de Giancarlo Giannini datant de 1928. Allongé sur le pont en bois et sirotant un bon whisky, il se réveilla soudain: le pari d’un gentleman. Tout ce qu’il a à faire pour prendre le bateau, c’est… danser mais est-ce que cela suffira à Giannini de se séparer de sa précieuse possession?
Maël Lesourd–Avril